La technique du patching est utilisée par les ébénistes de restauration comme Restauration meubles anciens Paris pour la réparation les dégâts importants sur la surface du bois d’un mobilier à restaurer. Les dégâts en question peuvent notamment être de grandes rayures, des gouges ou des brulures sur la surface du meuble à restaurer. Cette méthode est généralement préconisée dans le cas où une tache de finition encore intacte pourrait être identifiée sur la platine du mobilier concerné.
Pour réaliser un patching, l’ébéniste aura le choix d’utiliser un bâtonnet de gomme-laque ou de cire. Dans les deux cas, il faudra en premier lieu chauffer le bâtonnet de patching et une spatule d’étalage avec une lampe à alcool. La gomme-laque ou la cire fondue sera ensuite appliquée sur la zone à réparer et frottée sur place avec la spatule. Le dommage sera réparé lorsque la gomme-laque aura refroidi. Les excédents de gomme-laque ou de cire sont retirés avec une lame de rasoir.
En recevant une ou plusieurs couches de vernis, le bois améliore sa couleur naturelle du bois et offre un éclat plus enrichi de beauté. Le vernis préserve le bois en lui fournissant une couche de durable. Restauration meubles anciens Paris peut notamment utiliser toutes sortes de vernis pour la remise en état de votre mobilier en bois.
Quel que soit le produit utilisé, l’ébéniste veille en premier lieu à éliminer toute trace de vernis, de cires, d’huiles, de taches de bois, de poussière, de saleté ou de graisse sur le meuble à retaper. Il traite également les zones irrégulières et les matières collantes existantes en priorité avant le vernissage. De plus, l’ébéniste doit s’assurer que son espace de travail soit exempt de poussière et de saletés. Ces particules indésirables peuvent en effet se rassembler sur la surface du bois fraîchement verni. Le cas échéant, la finition du meuble ne sera pas parfaitement lisse et brillante.
Dans certains cas, le bois d’un meuble ancien peut encore être assez bien conservé. Le seul défaut se révélerait plutôt au niveau de la finition qui pourrait être usée et mince. Il n’y aurait pas notamment assez de matière à traiter pour l’utilisation de la technique de l’abrasion. Dans un cas de figure, les ébénistes de Restauration meubles anciens Paris utiliseront la méthode du revêtement excessif.
Le revêtement excessif est une technique de restauration de mobilier ancien qui consiste à appliquer une nouvelle couche de finition sur celle qui existait initialement à la surface du meuble à restaurer. Cela commence par le nettoyage de la surface du meuble avec un diluant à peinture. Certains ébénistes réalisent également ce nettoyage avec une solution d’ammoniac et d’eau. Ce mélange permet notamment de retirer le vernis et la cire appliquée au meuble. Si la tâche existante est usée, l’ébéniste en appliquera une nouvelle. Dans certains cas, une ou deux couches de tache à base d’huile polie dans le bois avec de la laine d’acier et essuyée avec un chiffon propre suffiront à assurer la nouvelle finition.
Les meubles anciens qui ne comporteraient pas une finition de peinture ou de gomme-laque peuvent retrouver leur éclat d’origine par le biais d’un soin de beauté spécialisée. Ce traitement particulier est notamment utilisé par les ébénistes professionnelles comme Restauration meubles anciens Paris pour restaurer les meubles en bois. Ils s’en servent notamment pour dissimuler les rayures, éliminer les saletés et restaurer les huiles du bois qui constitue le meuble ancien.
Les produits qui sont traditionnellement utilisés pour ce soin de beauté sont de l’huile de lin bouillie, de la térébenthine et de l’eau chaude. Chaque produit est appliqué sur la surface du meuble à l’aide d’un chiffon doux et propre. Le traitement est réalisé sur le meuble dans son entier jusqu’à ce qu’il soit parfaitement nettoyé. La solution permet non seulement de nettoyer les bois, mais aussi de protéger la finition. L’eau chaude et la térébenthine suppriment le sol et l’huile de lin bouillie lubrifie le bois, ce qui empêche les chevilles sur la finition.
L’élimination de résidus de cire, d’empreintes de doigts, de tâches ou de rayures sur la surface d’un meuble ancien exige souvent l’utilisation d’une technique d’abrasion. Il s’agit a priori de la méthode la plus agressive pour la restauration d’un mobilier ancien. Dès lors, l’abrasion est souvent trop impérieuse pour être entrepris par un ébéniste amateur. Elle serait beaucoup plus effective entre les mains d’une enseigne spécialisée comme la Restauration meubles anciens Paris.
En outre, les bonnes finitions de meubles devraient normalement être suffisamment épaisses pour que les dégâts subis ne pénètrent pas le bois. Dans ce cas de figure, la méthode de l’abrasion est tout à fait opportune. Elle est d’autant plus recommandée dans le cas où les dommages observés ne sont que des excès de cire ou de vernis de meuble au-dessus de la finition. La tache blanche en est un exemple. Les taches sombres nécessitent quant à elle un traitement plus complexe que l’abrasion. Ce type de pathologie résulte en effet d’un dommage interne du bois.